Mon parcourt avec LABVIEW

 

 

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Passionné d'électronique et d'informatique, je programme depuis déjà longtemps dans bon nombre de langages (depuis le Basic, en passant par les C, C++, HTML, JAVA, ABEL, VHDL jusqu'à l'assembleur auquel je m'adonne encore de temps à autres). Or je trouve tous ces langages assez lourd à digérer et pas seulement du point de vue de la syntaxe. Et je ne doit pas être le seul, il suffit pour s'en convaincre de constater le nombre d'outils de génération automatique de code disponibles sur le marché. C'est dans cette état d'esprit que j'ai abordé, en 1997, le langage G de Nationnal Instruments. Langage supporté par LabVIEW.

Une passion est née.

Voici donc mon expérience de LabVIEW. 

Pour ceux qui ne connaîtraient pas du tout ce produit...suivez le guide aller à la présentation de LabVIEW

Alors le langage G: outil d'instrumentation ou vrai langage de programmation ?

Je considère le langage G comme un véritable langage informatique à part entiére pouvant rendre absolument les mêmes services qu'un Visual Basic(c) ou autre.

A titre d'exemple voici un petit programme de calculatrice.

Mais ALORS quel est l'intérêt d'utiliser ce langage?

Ce langage est fabuleusement bien adapter pour les non-informaticiens et encore plus pour les gens qui ont un esprit orienté matériel. L'écriture des programmes est très proche d'une saisie de schéma électrique.

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Des petits + géniaux qui font que l'écriture et surtout la mise au point sont plus rapides

A l'écriture:

  • l'intégration de la description du module au système d'aide de LABVIEW,
  • le système d'aide qui visualise le prototype de fonctions,
  • pas d'erreur de syntaxe (de par le principe du tout graphique),
  • le crossprobing entre fenêtre d'erreur et diagramme,
  • l'historique,
  • les fonctions de documentation (en paticulier HTML)
  • Les boucles FOR autoindexée sur les dimension d'un tableau (très pratique pour parcourir tous les éléments d'un tableau),
  • La gestion des tableaux très stricte (pas de risque de débordement ...)
  • la richesse des fonctions proposée (notament traitement des chaînes de caractères, de gestion des fichiers, outre ces fonctions de base, toutes les fonctions de traitement du signal...),
  • la compatibilité ascendante (voir même descendante entre les différentes versions),
  • l'interopérabilté multiplateforme (Windows, Mac, Unix, Linux)

En mise au point:

  • Le bouton ampoule de mise au point (ou exécution annimée),
  • le mode pas à pas,
  • les sondes,
  • la fenêtre de projet.

Le plus spéctaculaire de tous est le mode exécution annimée. Dans ce mode, on a la possibilité de voir les informations transiter sur les fils de liaison entre les modules ce qui est vraiment très pratique pour la détection de bogues.

Tout ceci supporté par un site admirable que je vous invite de ce pas à visiter Site Nationnal Instruments

 

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L'HOMME SAGE CONNAIT SES LIMITES

Ce que ne permettent pas de faire le langage G et LabVIEW:

  • Il ne permet pas de créer des dll,
  • il est impossible de créer une fenêtre d'application avec des fenêtres filles (chaque nouveau module à sa propre face avant qui est un nouvelle fenêtre pour Windows ce qui tend à surcharger la barre des tâches)
  • Le prix du produit reste aussi un handicape à sa grande diffusion 2345€ pour une version full développement pour Linux et 995€ pour une version de base pour Windows (sans les fonctions de filtrage numérique) sur le Site Nationnal Instruments le 04.04.2000

Je ne pense pas que le langage G puisse détronner les langages textuels auprès d'informaticiens. Mais si vous avez un jour l'occasion de l'essayer alors n'hésitez surtout pas...

D'autres exemples sont en préparation comme: pilotage d'un bus I2C par le port parallèle, ainsi qu'un exemple associant pilotage du port parallèle et composant CPLD d'Altera et son source VHDL.

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